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samedi 27 février 2010

LA MEJOR


Tout ce que je l'était auparavant. Tout ce que je suis maintenant. Tout ce que je serai demain. Mes racines expliquent tout sur moi. J'ai voyagé partout dans le monde, mais chaque fois que je dois raconter mon histoire, je pars de là. Je pars avec mes parents, avec mon frère, avec ma maison à San Vendemiano (un seul «m», j'ai vu écrit un tort beaucoup de fois!). Je suis né le 9 Novembre en 1974, à Conegliano 'comme il est écrit sur ma carte d'identité. Tout simplement parce que l'hôpital était à Conegliano, soit cinq kilomètres de Vendemiano. Ma maison est toujours là, il ya encore notre nom sur le téléphone d'entrée. Ma maman y vit toujours, et ce fait en dit beaucoup sur elle. Et sur nous. Il ya quelque temps j'ai confié dans l'interview: «Je suis fier de mon père, qui travaillait dur comme électricien et de ma mère qui aurait nettoyé le sol dans presque toutes les maisons à Conegliano. Ils sont mes exemples à suivre. J ' m de plus que satisfait de l'enfance que j'avais, où les désirs étaient liées à la possibilité et jamais plus que cela. " Je crois que cette phrase résume le sentiment de joie d'âge: les valeurs, la dimension de la province italienne, le respect à l'argent et tous les sacrificies fait pour gagner cet argent, l'honnêteté et la paix.
Cela dit, dans la description de mes premières années, la seule chose qui manque, ce n'est pas juste un petit détail insignifiant, est la balle. Peu importe combien je essayer, je ne peux vraiment pas me souviens pas même un seul de mes amis qui était si obsédé par le football qui ne pouvait pas s'en passer, ne pouvait penser à autre chose. Mai être juste mon frère Stefano était comme moi, mais il était grand, il a joué dans les équipes réelles et souvent je le suivis avec mon père, jouissant de la banquette arrière de notre 127. J'étais sûr Stefano n'a eu aucun danger de rester sans ballon. Au lieu de cela je devais le gagner: les matchs tous les jours, qui a duré des heures ont été suivis par ceux de la soirée, illuminée par les lumières de mon père installé pour transformer le terrain de peu dans le stade bien éclairées pour notre propre Coupe des champions, et, alors , à la maison, seul, j'ai continué à jouer avec la balle de tennis dans le garage, jusqu'à ce que je suis littéralement traîné au lit. Mais même là, sous la couverture, je ne cessais de penser aux matches que je jouerais demain. Au fond, c'est pour ça que je rêvais de devenir un joueur de football. Pour être jamais sans un ballon.

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